• NOTRE DEMENAGEMENT

     NOTRE DEMENAGEMENT 

     

    Tout à commencer en 1984, mon père nous parlait, depuis un certain temps,

    qu'il souhaitait déménager, trouver une maison, une cour, un jardin à lui.......

    On le voyait faire toutes les démarches administratives, des fois, il nous

    emmenait avec lui, mais la plupart , nous restions à l'appartement et quand 

    l'occasion se présenté ont les accompagniez pour visiter des constructions,

    des mûrs de pierres, des quartiers.

    Une foie ,ont à même visitait une maison

    déjà toute faite, je pense qu'elle était là pour mes parents qu'ils puissent se

    donner un avis de la vie future avec une maison comme celle là.   

    Mais pour nous, elle était pareille que toutes les autres, nous dans notre tête,

    nous voulions pas partir, et rester ou ont été , avec nos amis.

    Nous nous  moquions bien d'avoir du terrain où une cour, de dormir à trois

    dans la même chambre, cela ne nous dérangès pas!

    mais voilà, mon père avais un rêve,il fallais qu'il le réalise..."être propriétaire"

    Quel extase! pour lui, il disait "ca seras pour nous plus tard".

    Les recherches ont duré pendant un petit moment ,  jusqu'au jour ! où il nous

    annoncait la nouvelle.

      Il nous expliquer qu'après avoir visité plusieurs site constructible, sa déscision

    été prise,Il avait choisi un petit  village appellé :

    D'aprés le voisinage, il s'agissait d' un coin plutôt tranquille, avec des commerçants,

    comme un tabac, une boulangerie, poste, un petit magasin d'alimentation, enfin

    tous ce qu'une famille avait besoin d'avoir.

    Mon père en parlait tous les jours comme d' une merveille, il disait!!!!!

    _ je ferais ça! je planterais ça! pour lui c'était tous le mérite d'un dur labeur de tous

    le travail qu'il avait fourni dans sa vie.

    Je le comprenais, moi aussi, un jour j'aurais ma maison,.

    Il faisait beaucoup de sacrifices pour payer les frais qu'engendrait les premières constructions de la

    maison de plein pied,il travaillait tout le temps, on ne le voyait presque plus .

    Mais, nous aussi ont le soutenaient à notre façon, des sacrifices aussi pour nous,

    la restriction sur la nourriture, souvent la même chose se repeté au moment du repas,,,,,,

    (patate, riz, nouille) et quand on avait l'audace de dire une parole contredisant le

    repas ou la mauvaise tête devant notre assiette, mon père nous sermonnés,

    en nous expliquant qu'il fallait savoir se qu'on voulait dans la vie, alors on s'en

    accommodés, et de toute façon nous avions pas le choix.

     

       Le week-end on allait voir l'avancement des travaux, c'était notre promenade,

    mais jusqu'au jours où les cartons ont vu le jour, et ont commençaient  à s'empiler,

    et l'appartement  se vider.

    Que-ce-que sa faisait bizard de voir celà !!!  on était là!!!! , plantés devant la porte,

    regardant!!! fliger!! comme une statue!!!!

    Mais! Boff...d'un grand soupir! pouquoi  regarder! C'était ridicule,puisque

    l'appartement était vide!mais on regardait quand même comme des idiots.

    On laissait derrière nous tous nos souvenirs ! nos rires nos pleurs et nos amis.

    La nostalgie commencait à remplir nos yeux mouillés et les larmes glissées

    doucement le long de notre visage.

                                                               

    La porte de l'appartement se referma et voila! on fermait la porte sur nos

    merveilleux souvenirs,ont monta dans la voiture pour suivre le  camion de

    déménagement.

    Nous quatre assis à l'arrière de la voiture, ont revisionnés

    tous ce qu'on laissé derrière nous,Madame Bereur avec jacquot et grisette

    (la chatte à trois pattes) qu'es ce qu'ils vont nous manquer,

    la boulangère avec ses délicieux petits bonbons à vingt centimes.

    Dans la voiture le calme plat, pourtant d'habitude ont était toujours là à se

    taquiner , mais là rien,ont avais pas le coeur à sa , on pençait à ce qu'on

    quittés et à ce qui nous attendais  pour l'avenir,pour nous c'était  l'inconnu.

     




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